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saff24's review against another edition
medium-paced
- Plot- or character-driven? Character
- Strong character development? Yes
- Loveable characters? It's complicated
- Diverse cast of characters? No
- Flaws of characters a main focus? Yes
4.0
saffy_atipova's review against another edition
challenging
emotional
reflective
slow-paced
- Plot- or character-driven? A mix
- Strong character development? It's complicated
- Loveable characters? No
- Diverse cast of characters? No
- Flaws of characters a main focus? Yes
2.75
bernardette's review against another edition
emotional
mysterious
reflective
slow-paced
3.5
It was a little hard for me to stay captured in the story at the start, but the book does pick up in the middle! Overall, the story felt a little anticlimactic to me but I really did enjoy the beautifully written prose. I also wish we had gotten more of Nicole’s perspective instead of her insufferable husband all the time!
allijobrach's review against another edition
slow-paced
- Strong character development? No
- Loveable characters? No
- Diverse cast of characters? No
- Flaws of characters a main focus? It's complicated
2.0
jen_noisette's review against another edition
2.0
En 1934, Malcolm Cowley écrivait ceci à propos du roman, ce qui résume bien mon sentiment:
C'est un roman lu dans le cadre de mon club de lecture qui aura lieu ce soir et que j'ai dû lire dans l'urgence d'un horaire surchargé. Je le mentionne car je crois que ça a teinté mon appréciation. Il s'agit d'un roman au rythme lent qui emprunte certains codes cinématographiques, particulièrement dans le premier livre où l'on prend le temps de bien nous situer et de faire la description des lieux de façon à ce qu'on puisse presque (res)sentir de façon perceptible l'odeur de bord de mer. J'ai dû le lire majoritairement en une journée et ce n'est pas un rythme que je recommanderais à une personne chère. ;-)
J'étais un bon public cible pour ce roman qui se déroule dans le premier tiers du 20e siècle, mettant en scène des personnages de la bourgeoisie avec tous les codes de communication alambiqués que cela implique, avec des scènes remplies de théâtralité et de drame surjoué parfois à la limite de la caricature en plus de retrouver un duel dans le premier quart; ce qui a toujours le tour de m'amuser.
Or, ça se corse assez rapidement. Il y avait un manque de cohérence et de fluidité dans la narration qui s'explique peut-être par les 9 années on & off ayant été nécessaires à Fitzgerald pour l'écriture qui devenait un irritant de plus en plus présent au fil de ma progression. Les sauts dans le temps étaient parfois surprenants et incongrus et tout au long du roman, à l'instar de Cowley, j'ai senti que Fitzgerald hésitait entre se concentrer sur son (ses?) personnage principal VS un collectif de personnages. Il m'a semblé qu'on avait pris beaucoup de temps à présenter plusieurs personnages en début de roman pour simplement les abandonner plus tard ou les faire revenir pour le temps d'une apparition tragique qui n'apporte rien de plus à l'histoire.
J'ai apprécié les quelques portes ouvertes sur des sujets toujours d'actualité en lien avec des réflexions sur les rapports sociaux, la santé mentale, la psychiatrie, les conflits de loyauté, la difficulté à concilier parfois la vie conjugale avec ses propres aspirations, les rapports de classe au sein de la société et parfois même de son propre couple, le syndrome du "sauveur" arrosé, etc. mais dans chaque cas, je sentais une difficulté à faire aboutir la réflexion de l'auteur. Impossible aussi de ne pas ressentir de malaise devant certains passages racistes ou homophobes. Même remis dans le contexte de l'époque, ça reste heurtant.
J'en aurais encore long à dire et on s'entend que je ne vous ai rien dit sur les personnages ou sur le synopsis en tant que tel. Une chose est sûre: Il y a du stock en masse pour alimenter une discussion de quelques heures ce soir au club de lecture!
En conclusion, pour ma part, je recommanderais The Great Gatsby sans hésiter à quiconque serait intéressé à s'introduire à cet auteur.
“Tender is the Night” is a good novel that puzzles you and ends by making you a little angry because it isn’t a great novel also. It doesn’t give the feeling of being complete in itself. (texte complet ici: https://newrepublic.com/article/95269/breakdown)
C'est un roman lu dans le cadre de mon club de lecture qui aura lieu ce soir et que j'ai dû lire dans l'urgence d'un horaire surchargé. Je le mentionne car je crois que ça a teinté mon appréciation. Il s'agit d'un roman au rythme lent qui emprunte certains codes cinématographiques, particulièrement dans le premier livre où l'on prend le temps de bien nous situer et de faire la description des lieux de façon à ce qu'on puisse presque (res)sentir de façon perceptible l'odeur de bord de mer. J'ai dû le lire majoritairement en une journée et ce n'est pas un rythme que je recommanderais à une personne chère. ;-)
J'étais un bon public cible pour ce roman qui se déroule dans le premier tiers du 20e siècle, mettant en scène des personnages de la bourgeoisie avec tous les codes de communication alambiqués que cela implique, avec des scènes remplies de théâtralité et de drame surjoué parfois à la limite de la caricature en plus de retrouver un duel dans le premier quart; ce qui a toujours le tour de m'amuser.
Or, ça se corse assez rapidement. Il y avait un manque de cohérence et de fluidité dans la narration qui s'explique peut-être par les 9 années on & off ayant été nécessaires à Fitzgerald pour l'écriture qui devenait un irritant de plus en plus présent au fil de ma progression. Les sauts dans le temps étaient parfois surprenants et incongrus et tout au long du roman, à l'instar de Cowley, j'ai senti que Fitzgerald hésitait entre se concentrer sur son (ses?) personnage principal VS un collectif de personnages. Il m'a semblé qu'on avait pris beaucoup de temps à présenter plusieurs personnages en début de roman pour simplement les abandonner plus tard ou les faire revenir pour le temps d'une apparition tragique qui n'apporte rien de plus à l'histoire.
J'ai apprécié les quelques portes ouvertes sur des sujets toujours d'actualité en lien avec des réflexions sur les rapports sociaux, la santé mentale, la psychiatrie, les conflits de loyauté, la difficulté à concilier parfois la vie conjugale avec ses propres aspirations, les rapports de classe au sein de la société et parfois même de son propre couple, le syndrome du "sauveur" arrosé, etc. mais dans chaque cas, je sentais une difficulté à faire aboutir la réflexion de l'auteur. Impossible aussi de ne pas ressentir de malaise devant certains passages racistes ou homophobes. Même remis dans le contexte de l'époque, ça reste heurtant.
J'en aurais encore long à dire et on s'entend que je ne vous ai rien dit sur les personnages ou sur le synopsis en tant que tel. Une chose est sûre: Il y a du stock en masse pour alimenter une discussion de quelques heures ce soir au club de lecture!
En conclusion, pour ma part, je recommanderais The Great Gatsby sans hésiter à quiconque serait intéressé à s'introduire à cet auteur.
wuergalot's review against another edition
3.0
I liked it, but not because of the story or the characters. In fact, Dick might now be in my top ten of most annoying characters....ever. I liked this because of the imagery. I was inspired by the imagery. The language was rich and vivid.
otjepier's review against another edition
Fitzgerald's prose is precise and generous, and his understanding of the interior life of his characters acute enough for me to enjoy this despite not really caring for the characters or plot
sweetlybookly's review against another edition
5.0
I highlighted so many beautifully written passages in this novel. For exquisite phrasing there is no writer more deceptively simple than Fitzgerald.
karastotle's review against another edition
3.0
It's no secret that I love The Great Gatsby, so when I found a brand new copy of another one of Fitzgerald's books on sale for $5, of course I snapped it up. I had high hopes for Tender Is the Night though I didn't expect to like it as much as The Great Gatsby. Apparently, some "hip" critics think it's actually better than Fitzgerald's masterwork (a sentiment that Fitzgerald himself shared) but I just don't see it, and overall this book simply perplexed me. For one, the order of the plot is a bit messy and arbitrary, and the prose itself could use a tight edit. I also really struggled with the book's negative treatment of women, non-Caucasians, people experiencing mental illnesses, and other "minorities" that actually vastly outnumber the straight, white, rich men that the plot largely focuses on. Dick was not that interesting or sympathetic as a main character, and his savior complex came off as arrogant rather than compassionate. I was hopeful when the story began by focusing on Rosemary's perspective, but she's quickly booted out of the spotlight in favor of Dick's life. The same thing happens to Nicole as well —I would much rather have read a novel that focused on her instead of Dick, but we only get her perspective towards the very end. Not a book I can recommend to others unless they are looking to plow through the whole Fitzgerald canon.
miki_mm's review against another edition
3.0
I love Fitzgerald’s way with words — I was first introduced to it with The Great Gatsby, so I decided to give this one a try.
The writing style, as usual, was one of the standout pieces of this book.. but to be honest, the plot just wasn’t as gripping as I hoped it would be. Maybe I’d feel differently if I re-read it?
The writing style, as usual, was one of the standout pieces of this book.. but to be honest, the plot just wasn’t as gripping as I hoped it would be. Maybe I’d feel differently if I re-read it?