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theliteraryteapot's reviews
285 reviews
- Plot- or character-driven? Character
- Strong character development? It's complicated
- Loveable characters? No
- Diverse cast of characters? Yes
- Flaws of characters a main focus? Yes
4.0
Maybe not perfect, this book still is quite significant, an important read. This story may feel like it's been done before but to me, growing up in a rural environment with homophobic family members, this is sadly a little too relatable (even down to the care assitant job).
Graphic: Ableism, Body horror, Death, Emotional abuse, Homophobia, Sexism, Blood, Excrement, Medical content, Dementia, and Lesbophobia
Minor: Classism
3.5
Graphic: Death, Torture, Violence, Police brutality, Colonisation, and War
- Loveable characters? Yes
- Diverse cast of characters? No
4.0
Check trigger warnings beforehand though as light-hearted as it is, it still deals with certain heavy topics.
Graphic: Ableism, Body shaming, Chronic illness, Confinement, Death, Self harm, Suicidal thoughts, Medical trauma, Suicide attempt, and Alcohol
Minor: War
3.0
À la base, c'est un cadeau de mon copain, et j'ai quand même écrit un mémoire sur la poésie saphique donc forcément j'ai été amenée à étudier et analyser un peu Sappho. Ce qui m'intéressait c'était les différentes réceptions de sa poésie au fil des siècles. Donc c'était intéressant mais un peu dans l'ombre des idées de l'autrice finalement. En fait, ce n'est clairement pas un travail d'histoire ni universitaire et peut-être que mes attentes étaient erronées dès le départ.
En bref, pourquoi pas mais en toute honnêteté, ce livre et l'autrice me donnent une vibe de féminisme pour femmes blanches et hétéros.
4.0
Le mois de mars a été très difficile pour moi et ma famille. Ces fichus problèmes de santé, ces douleurs et tous les autres symptômes qui ne nous lâchent pas. Donc j'ai hésité à ouvrir ce livre parce que je n'en peux plus. Cette maladie chronique nous envahit et nous pourrit la vie. Ironie du sort, mars est le mois de l'endométriose. Mais le livre prenait la poussière dans la bibliothèque alors je l'ai lu d'une traite. Je suis "contente" d'avoir lu ce témoignage car je me sens moins seule, évidemment. Mais aussi car Enora Malagré décrit précisément notre quotidien. Certes, nous n'avons pas toutes les mêmes symptômes, les mêmes environnements, etc, mais ses descriptions si détaillées et tant trânchantes sont familières.
Je conseille fortement ce livre d'une part afin de comprendre la maladie. Enora explique tellement bien ce qu'est concrètement l'endométriose (p.50) : "l'endomètre n'est pas complètement expulsé et certaines cellules colonisent l'utérus (adénomyose) ou remontent par les trompes vers les ovaires et d'autres organes des systèmes digestif et urinaire, plus rarement pulmonaire. Ces cellules créent des kystes, des lésions et des adhérences sur les organes [...]".
D'autre part, lisez ce livre également car il est important de nous écouter. La recherche a pris un cruel retard, dû bien sûr à la misogynie, et même si le corps médical et le grand public se penchent plus sur la question ces dernières années, nous peinons encore à être entendues. Vraiment.
À titre personnel, j'ai attendu neuf ans avant d'obtenir un diagnostique, et ce en ayant la chance inouïe d'avoir une mère qui connait bien les deux radiologues qui m'ont beaucoup aidée. J'ai une endométriose digestive. Je souffre chaque jour, ou presque. Chaque repas est compliqué. Chaque mouvement des intestins est douloureux, parfois jusqu'à la crise de douleurs qui me paralyse et me prive de l'usage de mes jambes. C'est un enfer au quotidien, comme le démontre si bien Enora. La société et l'emploi ne sont pas adaptés, on nous dit que c'est à nous de nous adapter. C'est cruel et parfois simplement impossible. La maladie épuise, isole, prend tout ce qu'on a. Et elle est actuellement incurable. On gère comme on peut : des anti-douleurs à effet partiel, poches de froid, bouillotte, on annule les sorties, on se repose quand on peut (on culpabilise), etc.
Comme Enora Malagré, la musique est thérapeutique pour moi. Et j'ai de la chance d'avoir mon compagnon d'une si grande bienveillance et plein d'amour. Je peux seulement espérer qu'il y ait de véritables améliorations d'ici les prochaines années (l'ALD30, des médecins formés, des centres spécialisés, arrêter de nous dire que c'est normal ou que c'est pas si catastrophiques, de vrais traitements qui puissent nous guérir surtout...).
Graphic: Addiction, Alcoholism, Chronic illness, Infertility, Miscarriage, Misogyny, Sexism, Vomit, Medical content, Medical trauma, and Pregnancy
- Plot- or character-driven? Plot
- Strong character development? Yes
- Loveable characters? Yes
4.0
Graphic: Animal death, Bullying, and Classism
- Strong character development? No
- Loveable characters? No
- Flaws of characters a main focus? Yes
2.0
Although I have endometriosis, I don't think I can judge the representation that much because it can manifest in many different ways from one person to another. The only thing (maybe I'm nitpicking here), is that no you don't necessarily need a surgery to confirm a diagnosis, an mri scan is enough. And no, endometriosis is not just painful periods and infertility, it's so much more, there are so many other symptoms and different types of pain (outside periods and ovulations).
It's funny because on paper, Frances could have been my representation: bi, endometriosis, poetess, studying literature, financially struggling (except for the fact her uncle owns her apartment), and yet... Nothing worked for me. It's just not for me.
I'm glad it got me out of a reading slump and I'm glad to see endometriosis more in fiction. That's it.
Graphic: Alcoholism, Chronic illness, Mental illness, Self harm, Sexual content, Suicidal thoughts, Toxic relationship, Blood, Vomit, Alcohol, and Classism
Moderate: Medical content
Minor: Adult/minor relationship, Miscarriage, Pedophilia, and Pregnancy
- Plot- or character-driven? A mix
- Strong character development? Yes
- Loveable characters? Yes
5.0
This is the perfect read for me; about tea(!!!), books, people's passions... It's very cosy, short and so very human!
This read like interconnected short stories which was satisfying. The one story that spoke to me the most was the third one, the lady who has a handmade lingerie shop.
(WHENNN will I open my own tea shop/bookshop??)
This is a new favourite book for sure and I will treasure it for a long time.
3.25
La deuxième partie couvre un choix des poèmes d'Anne Perrier, souvent très courts et agrèables à lire. Le livre inclue également deux textes courts de la poétesse sur son rapport à l'écriture poétique qui étaient très éclairants.
Deux poèmes qui me restent particulièrement en tête, du recueil Joueur de flûte, p.246 :
"Les enfants meurent par milliers
Et nous marchons et nous dormons
Sur le velours du jour"
"Pourquoi d'un jardin si beau
Sommes-nous incapables
De répartir les fruits"
2.75
Bon honnêtement, je suis malade ces jours-ci et ça a affecté ma lecture; j'en avais un peu marre, c'est un peu répétitif. Et le lexique à la fin du livre c'est pénible de s'amuser à faire des allers-retours.