Cette autrice a vraiment un talent d’écriture, parce que suivre le quotidien d’une protagoniste et que ça soit intéressant et motivant à continuer, c’est un tour de force.

Histoire bien construite avec “la fin” en premier chapitre et un retour dans le temps par la suite.

On comprend bien ce qui se passe, on s’attache à la protagoniste, malgré sa vie complètement hors du cadre.

On comprend d’où vient son mal-être et cette forme de contrôle qu’une vie anarchique offre.

Le tout est bien ficelé pour construire les relations et l’installation au Yukon. Lorsque la déchéance commence ça fait très mal.

On m’avait parlé du chien et effectivement, j’ai cri*ssement mal.

Moral : les hommes, toujours les hommes, brisent les femmes et les femmes ne sont jamais solidaires entre elles. Même dans un contexte de refus d’autorité et de choix ultra libres.