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A review by les_lectures_hallucinees
Perdido Street Station - Tome 2 by China Miéville
5.0
Probablement un de mes avis les plus enthousiastes pour un livre! Quel grand roman que représente Perdido Street Station! Une des oeuvres ultimes selon moi du dark fantasy/steam punk et lauréat de plusieurs prix littéraires, dont le Arthur C. Clarke.
On se transporte dans la ville du Nouveau-Crobuzon, fesant partie de l’univers du Bas-Lag, où s’entremêlent plusieurs histoires (un scientifique qui veut faire retrouver les ailes à un homme-aigle, une femme-scarabée peintre, l’emprise de la mafia, une expérience scientifique qui tourne au cauchemar, etc.)
La vedette ici est la ville de Nouveau-Crobuzon, qui jouie de tout les vices et les vertues et d’une réputation chaotique, violente, corrompue et polluée. Elle est peuplée de monstres, de créatures fantasmagoriques et d’humains qui doivent bien malgré eux coexister ensemble. En plus des gorgones, ces papillons carnivores qui aspirent les
esprits qui m’ont donné bien des sueurs froides. Probablement une des créatures les plus terrifiantes de l’imaginaire littéraire que j’ai lu.
La vraie vedette cependant, est l’imagination incroyable de China Miéville, qui ne connait aucune limite. Son sens de l'observation inhabituel pour le détail physique, pour la beauté et la laideur, la mythologie qu’il crée avec une amalgame de mots surprenants et son savoir, le concept religieux et politique de son univers…mais surtout, une facilité déroutante à entremêler différents genres littéraires (horreur, fantasy, policier, noir, steampunk), en fait de Perdido Street Station un grand chef d’oeuvre.
Malgré que la prose n’est pas facile d’approche et que l’univers est très dense, on se doit de saluer tout le travail exceptionnel de son auteur, qui relève du phénomène et un de mes coups de coeurs récents!
Grandement recommandé!
On se transporte dans la ville du Nouveau-Crobuzon, fesant partie de l’univers du Bas-Lag, où s’entremêlent plusieurs histoires (un scientifique qui veut faire retrouver les ailes à un homme-aigle, une femme-scarabée peintre, l’emprise de la mafia, une expérience scientifique qui tourne au cauchemar, etc.)
La vedette ici est la ville de Nouveau-Crobuzon, qui jouie de tout les vices et les vertues et d’une réputation chaotique, violente, corrompue et polluée. Elle est peuplée de monstres, de créatures fantasmagoriques et d’humains qui doivent bien malgré eux coexister ensemble. En plus des gorgones, ces papillons carnivores qui aspirent les
esprits qui m’ont donné bien des sueurs froides. Probablement une des créatures les plus terrifiantes de l’imaginaire littéraire que j’ai lu.
La vraie vedette cependant, est l’imagination incroyable de China Miéville, qui ne connait aucune limite. Son sens de l'observation inhabituel pour le détail physique, pour la beauté et la laideur, la mythologie qu’il crée avec une amalgame de mots surprenants et son savoir, le concept religieux et politique de son univers…mais surtout, une facilité déroutante à entremêler différents genres littéraires (horreur, fantasy, policier, noir, steampunk), en fait de Perdido Street Station un grand chef d’oeuvre.
Malgré que la prose n’est pas facile d’approche et que l’univers est très dense, on se doit de saluer tout le travail exceptionnel de son auteur, qui relève du phénomène et un de mes coups de coeurs récents!
Grandement recommandé!