Il y a certainement plusieurs raisons pour lesquelles ce livre dans lequel SdB raconte l'agonie et la mort de sa mère me rappelle les livres d'Ernaux, mais les principales sont certainement la langue et le fait que les deux autrices, dans mon imaginaire mais je ne sais pas si c'est le cas dans la réalité, ont des parcours très similaires. Les familles et en particulier les mères se brouillent dans mes souvenirs même si je viens de terminer la lecture de ce livre.
Je ne peux évidemment rien dire de significatif sur la manière dont la romancière décide de décrire les derniers jours de sa mère, mais il m'est pénible de constater que ce ne serait pas très différent aujourd'hui. Cependant, la partie que j'ai préférée est celle où la mère dit à sa fille qu'il est vrai que les parents ne comprennent pas leurs enfants, mais que le contraire est également vrai.

Ci sono sicuramente piú ragioni per cui questo libro in cui SdB racconta l'agonia e la morte della madre mi ricordano i libri dalle Ernaux, ma sicuramente i principali sono la lingua e il fatto che le due autrici, nella mia mente ma non saprei se in realtá, hanno un background molto simile. Le famiglie ed in particolari le madri si confondono nei miei ricordi anche se questo libro ho appena finito di leggerlo. Ovviamente non sono in grado di dire niente di significativo sul modo in cui l'autrice decide di descrivere gli ultimi giorni della madre, duole peró notare, che ora non sarebbe poi molto diverso. La parte che comunque mi é piaciuta di piú é quella peró in cui la madre dice all'autrice che é vero che i genitori non capiscono i figli, ma che é vero anche il contrario.