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A review by hellocamcam
Love on the Brain by Ali Hazelwood
3.0
— Merci à NetGalley et à l'éditeur de m'avoir permis d'écouter une copie de cet audiolivre en échange d'une critique honnête ! —
Une romance légère, divertissante, et agréable à écouter, surtout grâce à la narration audio impeccable. La voix de la narratrice est fluide, naturelle, et évite les déformations de voix exagérées pour différencier les personnages, juste une performance bien calibrée qui permet de se laisser emporter par le récit.
Comme dans son précédent livre, Hazelwood exploite de nouveau les stéréotypes physiques classiques pour son duo principal : Bee, la neuro-scientifique pétillante et opiniâtre et Levi, le scientifique sérieux, grand et taciturne. Ce schéma familier peut paraître redondant pour ceux qui connaissent déjà son style, mais cela n'enlève rien au fait que l'histoire reste plaisante à suivre.
L’un des aspects les plus intéressants du roman réside dans la mise en lumière des défis auxquels les femmes scientifiques sont confrontées dans le domaine des sciences. Hazelwood n’hésite pas à aborder le sexisme qui règnent dans le monde de la science, à travers l'histoire de Bee et des anecdotes que celle-ci nous partage sur Marie Curie (son idole). Cela ajoute une touche de pertinence sociale au récit, rendant les moments les plus sérieux tout aussi intéressant.
Cela dit, l'intrigue repose en partie sur un malentendu entre Bee et Levi, et c'est là que j’ai ressenti de la frustration. La naïveté de Bee face au quiproquo qui dure entre eux m'a parfois fait lever les yeux au ciel. Elle est si bornée dans ses idées préconçues qu'elle refuse d'envisager d'autres possibilités, moins dramatiques mais plus probables, ce qui rend certains moments un peu tirés par les cheveux.
En résumé, si vous aimez les comédies romantiques sans prises de tête se déroulant dans les locaux de la NASA, vous y trouverez sans aucun doute votre bonheur !
Une romance légère, divertissante, et agréable à écouter, surtout grâce à la narration audio impeccable. La voix de la narratrice est fluide, naturelle, et évite les déformations de voix exagérées pour différencier les personnages, juste une performance bien calibrée qui permet de se laisser emporter par le récit.
Comme dans son précédent livre, Hazelwood exploite de nouveau les stéréotypes physiques classiques pour son duo principal : Bee, la neuro-scientifique pétillante et opiniâtre et Levi, le scientifique sérieux, grand et taciturne. Ce schéma familier peut paraître redondant pour ceux qui connaissent déjà son style, mais cela n'enlève rien au fait que l'histoire reste plaisante à suivre.
L’un des aspects les plus intéressants du roman réside dans la mise en lumière des défis auxquels les femmes scientifiques sont confrontées dans le domaine des sciences. Hazelwood n’hésite pas à aborder le sexisme qui règnent dans le monde de la science, à travers l'histoire de Bee et des anecdotes que celle-ci nous partage sur Marie Curie (son idole). Cela ajoute une touche de pertinence sociale au récit, rendant les moments les plus sérieux tout aussi intéressant.
Cela dit, l'intrigue repose en partie sur un malentendu entre Bee et Levi, et c'est là que j’ai ressenti de la frustration. La naïveté de Bee face au quiproquo qui dure entre eux m'a parfois fait lever les yeux au ciel. Elle est si bornée dans ses idées préconçues qu'elle refuse d'envisager d'autres possibilités, moins dramatiques mais plus probables, ce qui rend certains moments un peu tirés par les cheveux.
En résumé, si vous aimez les comédies romantiques sans prises de tête se déroulant dans les locaux de la NASA, vous y trouverez sans aucun doute votre bonheur !